Jetez un oeil sur citizen nantes : retour de la manif anti répression à Nantes. Le Flashball en premier rôle qui vous guette.

madame propre

Madame notre maire et ses boys , les messieurs propres ses  nettoient la ville au plus vite, ne pas laisser trace de quoi que se soit. Pas de souci, pas de problème, cela n'a jamais existé, les sous , on les a pour effacer la mémoire. Les tags ont disparu,  mon bel habit du dimanche et pour un premier novembre, la première dame de la cité toute indignée, toure tout cela fort du café, très , très  anti-démocratique (elle est habituée, son actif une prise de parole du 9 avril 2012. Déjà, ce jour là, une simple mobilisation avec quelques tracteurs et ses militants, des vélos et des chansons pour accueillir Mr Ayrault dans sa campagne électorale à la Maison de quartier des Dervallières, et on ne peut plus de police en guoguette dans ce beau parc d'anciens armateurs, esclavagistes nantais . Le service d'ordre du Ps avait interdit ces impertinent de rentrer écouter son meeting bien sûr et Mr Ayrault n'était point venu, préextant l'apaisement. Quel  homme sage, un indigné, je vous le dis, il a même accueilli Stéphane Hessel pour le Forum des droits de l'homme qui tape fort sur la tête des anti aéropor, vous vous souvenez, un vrai indigné cet homme, bon.). c'était le 26 avril 2012.

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les chants des casseurs ambiance_cyclo_tracto_derv_.mp3

On voit aujourd'hui ce qui prône comme appaisement .

Dimanche 2 novembre aucune casse, c'est une illusion d'optique et les médias omettent de dire comment cela a commencé, ils étaient bien présents en masse, vu qu'on leur a annoncé le spectacle, il y aura de la casse, c'est garanti. Tout baigne , bien huilée la mauvaise comédie (on en fera un film, merdre, Jacques Demy est mort et sa chambre en ville est inaccessible à la jeunesse vu les prix de l'immobilier à Nantes).

Par contre, on a encore tiré sur la foule sans raison quoi que vous dites . Un coup de flasball à la tête, et c'est reparti comme en 14.

Circulez, il n'y a rien à dire. .......

sur le site de reporterre.net dans le dernier message :

"C’est finalement la violence d’en face, policière, qui est la plus questionnée. Si les journalistes venus sur place ont récupéré un grand nombre de témoignages directs des violences sur place, peu se sont posé la question de l’origine de celle-ci. Et c’est Mario qui nous donne son appréciation : « Je pense que ce qui a fait qu’il y a eu une volonté d’affrontement samedi, c’était de voir que pour une fois, nous étions nombreux et nous pouvions les faire reculer. » Et reprenant la philosophie de Hannah Arendt, « ce que nous n’avions pas mesuré, c’est que quand l’Etat se sent menacé, il devient encore plus violent, c’est comme ça que nait le fascisme ».

Jour des morts  un insulte à Rémi que  Valls nous balance.... ?

On s'interroge ? Il ne faudrait pa s inverser ?

Antidémocratique, l'anti-hommage de Rémi Fraisse selon eux, mais ce jeune homme serait dans nos pas et marcherait avec nous ensemble démocratiquement et pacifiquement, si on n'avait pas une une fois encore été noyé sous vos lacrymos et vos tirs tendus de flashballs qui ont encore défiguré un jeune samdi à Nantes, n'est-il pas interdit de tirer au visage avec pareil engin. La mort de Rémi Fraisse ne vous a donc  rien appris. La manifestation a démarrée de la préfecture dans un silence, nous  avons remonté le cours ces cinquantes otages, à droite et à gauche d'importantes forces de police en armes ferment tous les accès au Bouffay et vers la rue de l'arche sèche.

Nous continuons vers la croisée des trams et tournons  pour aller vers la place du Bouffay, les forces se déplacent bloquant tout le Bouffay. Pour l'instant tout se passe bien à part quelques pétards. Nous remontons vers la rue de Strasbourg pour terminer la manifesation dans le calme et sans trouble. Trop beau, on nous attendais au milieu de la rue de Strasbourg, un rideau bleu braquant leur flasball sous les yeux de la tête du cortège, ce qui a mis le feu aux poudres, des bouteilles d'eau ont volées vers les forces de l'ordre, dès lors celles-ci se sentant fortement agressées, menacées et en usant graduellement de leur bon usage de la force ont commencées a balancé les gaz et les assourdissantes et les flasballs. Tiens, ils ne voulaient donc pas que cette manif se passe calmement. Vu l'armada en placeet vue l'intoxication de la semaine. Elle sera dangereuse cette manif. On a compris.

Nous sommes revenus calmement vers le cours des 50 otages où on a été accueillis pas d'autres gaz et ainsi de suite jusqu')à la charge de la cavalerie ver s 20 heures , le tour est joué, maintenant au maire et l'ex-maire de parler , c'est intolérable, ces violences , c'est anti démocratique, ce n'est pas honorer la mort de Rémi Fraissse. "la même ritournelle bien rodée ....qui s'use.

Nous continurons à marcher vers un futur qui ne vous appartient plus.

le rase motte est revenu nous filmer de près. Il se trompe de lune.

Big brother nous regarde de travers.

Pré-Rapport provisoire sur la manifestation nantaise de ce samedi 1er novembre 2014. Communiqué de presse 23h30.

En guise de rapport provisoire de nos observateurs-médiateurs bénévoles sur place, nous sommes en mesure de bien vouloir demander à Ouest-France, Presse-Océan, AFP et aux autres rédactions de bien vouloir prendre en compte les 4 orientations de ce compte-rendu que nous développerons dans notre prochaine édition sur le blog http://obslab.blogspot.fr/

Les quatre paradoxes de la manifestation nantaise de ce samedi soir :
1 - Une manifestation « interdite » mais s'autorisant de fait massive et responsable pour Rémi ;
2 - Une manifestation de « casseurs » sans casse matérielle ;
3 - Une manifestation « insurrectionnelle » mais où la police conduit scientifiquement l'itinéraire de bout en bout et blesse des innocents ;
4 - Une diffamation d'État irresponsable par l' « acide », qui aura des conséquences durables et incalculables ;

Rappel : l'OBSLAB s'est constitué en observatoire non-violent de cette manifestation, conformément à son objet (OBServatoire-LABoratoire de la démocratie locale en pays nantais), dans une double démarche : en hommage à Rémi dans le recueillement et la dénonciation du surarmement de la police, dans une démarche d'observation et de médiation face à la police nantaise.