Carnaval et intox habituel des pouvoirs publics : sacages : un piège plutôt

Carnaval et intox habituel des pouvoirs publics dont Johana Rolland(maire de Nantes) (copine comme cochon de de Mr Retailleau)qui apporte son soutien, son seau et sa brosse à récurer de tout impair à sa République totalitaire.(on ne retrouve plus son petit tweet si sympathique) .

C'est quand même curieux cela que les vitrines taggées ou brisées soient-celles de banques, d'assurances et  même Free de penser.

A croire que l'opération du sauvetage de la banqueroute des banques en l'an 2008 avec nos économies ouvrant ainsi un sacré trou dans l'Etat n'a pas été oublié par tout le monde . Intérêt public de s'en rappeler .

On ne va pas les pleurer ces banquiers affameurs.

A jeter un oeil sur cet article et les messages des personnes passant par là sans pour autant être de gais lurons du Carnaval.

 

https://nantes.indymedia.org/articles/33257

et hop

Rennesmaville

ici

rennesmaville

 

Un piège des autorités plutôt: t

véritable saccage? : c'est le même rituel de propos un peu à côté de la plaque par rapport à la réalité des dégats comme ils disent . Alors comment faudrait-il qualifier les dégats qui ont eu lieu la semaine précédente par les agriculteurs de la FDSEA  sur la nationale de Rennes à St brieuc qui ont rendu un kilomètre de 4 voies  en ruine totale  sans aucune intervention des baceux et autres gendarmes pour appréhender ces paysans si habitués à jouer les vrais casseurs en toute impunité ceux-là.

Un piège des autorités plutôt

vidéo ici

sur indymedia

> Témoignage d'une manifestante matraquée

Aujourd'hui, j'ai été MATRAQUEE !

Fin de défilé carnavalesque anti-aéroport et son monde à Rennes...

La foule se disperse. Nous en faisons partie. Nous marchons tranquillement, bras dessus-dessous, masques retirés, sur le trottoir d'une grande avenue, pour regagner notre voiture.

Tout à coup, les gens courent et nous doublent. Je ne peux pas courir, mais nous accélérons le pas. Nous devinons une charge policière avec jets de lacrymos.

Tout droit : un barrage policier. A gauche : une petite rue. Nous la prenons. Les gens ne courent plus. Nous avons ralenti notre pas.

Peut-être cinq mètres de parcourus et je reçois un (des ?) coup(s) dans le dos. Puis les coups pleuvent. Toujours par derrière, mais sur les cuisses cette fois. Je continue à marcher ? je suis arrêtée ? je ne sais pas. Je sens juste les coups acharnés qui continuent encore et encore. La douleur est là. J'ai terriblement mal. Je ne dis rien ? je ne sais pas. J'entends seulement Alain qui crie, qui crie "arrêtez ! arrêtez !". Il ne me lâche pas. Je reste accroché à son bras.

Je ne me retourne pas. Je n'ai pas vu le policier agresseur. Voulait-il me mettre au sol ? : je ne suis pas tombée. Peut-être la raison de son défouloir sur mes cuisses.

Et puis, çà s'est arrêté. Trois à quatre mètres parcourus et une terrasse de café, pleine. Les gens ont vu ? On veut me faire asseoir. J'en suis incapable. J'ai mal. Je suis debout. Je peux parler, mais difficilement. C'est l'émotion, l'incompréhension de ce qu'il vient de m'arriver...

La route a été longue pour regagner notre voiture puis notre domicile.

J'ai pu joindre au téléphone quelques proches pour les nouvelles : un camarade a eu moins de chance que moi : matraqué à la tête, il était aux urgences...

Je ne veux pas être une martyre : je témoigne et dénonce que je suis une victime.

VICTIME DE VIOLENCES POLICIERES,
VICTIME DE L'ETAT POLICIER,
VICTIME DE L'ETAT QUI REPRIME AVEC SA POLICE ET SON IN-JUSTICE.
JE DENONCE CET ETAT D'URGENCE qui sous prétexte sécuritaire terroriste, veut museler toute contestation de rue, quelle soit environnementale, sociale, économique...

Ils ne nous muselleront pas ! la rue est à nous ! NOUS CONTINUONS !

J'ai mal mais je vais bien et si mon corps met quelques jours à se remettre : je reste debout et je ne lâche rien !

RESISTANCE !

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Marcelo

Author: Marcelo

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