NE NOUS LAISSONS PAS TERRORISER

                                                                                                                    QG et Louis Witter

NE NOUS LAISSONS PAS TERRORISER

 

 

" J'irais jusqu'au Peuple disait lautre fou de Sarkozy qui devrait être en prison depuis longtemps Mr Kadafi

(chanson créée parun jeune de Laval dans le cadre des ateliers de création sonores de Kazl A Dud en 2005 ou 6 en chantier d'insertion à Laval ...Marcron /Sarkozy : les mêmes méthodes) Macron en pire ...

On relaie les billets de

2 h 

 

RÉPRESSION : NE NOUS LAISSONS PAS TERRORISER

- Quelques réflexions pour refuser la peur organisée par le pouvoir -

Depuis trois jours, le régime organise des centaines d'arrestations, notamment des rafles massives à Paris. Les images de la capitale sont terrifiantes : des charges, des étranglements, des tabassages au sol. Plus de 500 interpellations en trois nuits rien qu'à Paris. Samedi soir, de véritables rafles, avec des dizaines de personnes alignées en rangs serrés contre les murs, dans une ruelle sombre, par des policiers cagoulés : les images d'une dictature. Il est nécessaire de montrer ce qu'il se passe, la gravité extrême de la situation politique française, et en même temps...

Comment ne pas tomber dans le piège du pouvoir ? Il cherche à nous terroriser, à briser moralement ce mouvement social massif. Et pour cela, quoi de mieux que de mettre en scène des escadrons de la mort frappant et arrêtant des centaines de personnes à Paris ? Que peuvent générer de telles images ? Une rage décuplée, ou un sentiment de peur généralisée qui va dissuader beaucoup de gens de retourner dans la rue ?

Il est donc nécessaire d'opposer à la terreur d’État le récit de nos victoires. Pendant trois nuits de suite, la police a été mise en échec à Paris, mais aussi dans des dizaines d'autres villes. Depuis jeudi, nous assistons à une multiplication des gestes de résistances, et à un élargissement des pratiques de luttes offensives. Jeudi et samedi, des barricades sont apparues dans de nombreuses villes, même celles réputées calmes. Des dizaines de milliers de personnes ont vécu des moments d'intensité et de joie partagée, l'impression, enfin, de relever la tête. Tout cela, nous ne l'avions pas ressenti depuis les Gilets Jaunes. Hier à Paris, la police a embarqué une cinquantaine de manifestant-es d'un seul coup dans un bus, mais leur solidarité et leur puissance sont restées intactes : ils et elles ont continué à chanté dans le fourgon. À Nantes, malgré une répression sauvage, la détermination n'a jamais été aussi élevée. C'est cela qu'il faut retenir ! Nous ne sommes pas condamnés à perdre. Si le pouvoir sort les crocs, c'est qu'il a peur.

Durant les Gilets Jaunes, après trois premiers actes fabuleux, une répression terrible a semé la peur dans les cœurs et les esprits. Les centaines de vidéos de manifestant-es blessé-es ont provoqué l'effroi collectif. C'était le but du gouvernement. Après le 8 décembre 2018, le mouvement n'a pas réussi à franchir d'étape supplémentaire.

Dénoncer la violence d’État est essentiel, nous y contribuons et continuerons de le faire. Mais il faut veiller à ce que cette dénonciation donne corps à la révolte, plutôt que de la pétrifier. Ne relayer que les images d'arrestations et de coups rentre dans le storytelling du pouvoir. Celui qui nous dit que manifester est dangereux, que contester vous expose à des violences morales et physiques. Oui, la situation est pré-fasciste. Mais nous pouvons encore agir, faisons-le tant qu'il est temps, tant que la colère est là, massive, soutenue. Nous sommes des millions, pluriels, soutenu-es par la quasi-totalité de la population.

Nous sommes engagé-es dans un combat, et c'est le moment ou jamais de se défendre, de rendre les coups.

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RÉVOLUTION PERMANENTE

En approchant  de la préfecture en allant à la manfi du 15/03/23 à Nantes aves les Etudiant(es)

 

 

Allez allez des mix d'époque de Sarkozy pour se lancer dans la lutte épique et super importe de cette semaine . J'irai au pleuple qu'il disait à l'époque 2010 ?

 

 

La crise économique c'est fantastique, la décadence c'est la bonne ambiance 45 t du début des années glorieuses 80 et du chômage des jeunes, on y pointait à l'ANPE tous les 15 jours pour justifier ses droits qu'on se le dise ..

 

 

Et encore...Un rêve conscient.

 

 

 

RÉVOLUTION PERMANENTE

https://www.revolutionpermanente.fr/Bataille-des-retraites-Du-moment-Berger-au-moment-pre-revolutionnaire

texte intégral sur leur site

Le principal obstacle : la direction du mouvement ouvrier

Face à une telle crise politique et sociale, l’intersyndicale agit comme la dernière soupape de secours du régime de la Ve République en crise. Bien que la brutalité de l’exécutif et surtout la radicalisation de la base aient contraint l’ensemble de ses composantes à appeler à une nouvelle journée de manifestation le jeudi 23, celle-ci se garde comme de la peste de profiter de la crise politique pour vaincre le macronisme.

Alors que la rue ne dénonce pas seulement le gouvernement mais commence à poser la question de la démission de Macron, l’intersyndicale continue d’enfermer le mouvement en cours sur le seul terrain du retrait de la réforme. C’est en ce sens qu’intervenait ces derniers jours Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT : « Nous n’avons pas voulu nous mobiliser en début de semaine, car nous aurions marché sur le calendrier politique ». Interrogé sur la motion de censure transpartisane qui sera discuté et voté ce lundi dans l’hémicycle, elle a répondu : « Nous, on ne se positionne pas là-dessus. Notre mot d’ordre n’est pas de faire tomber le gouvernement. Notre mot d’ordre, c’est le retrait de la réforme ». Interrogés sur les plateaux télés ces derniers jours, les dirigeants de la CGT ont exprimé une position similaire.

Ce refus de politiser la lutte est un obstacle au développement du mouvement, dans un moment où il est possible de passer à l’offensive contre le gouvernement de Borne mais également contre Macron et toutes ces contres réformes. Plus que jamais, le mot d’ordre de « Macron démission » et « d’abrogation de la Constitution de la Vème République », sont à l’ordre du jour, en même temps que la défense d’un programme démocratique radical face au pourrissement des institutions autoritaires de la République bourgeoise, qui facilite la lutte pour un gouvernement des travailleurs et des classes populaires.

On peut ainsi affirmer sans risque de se tromper que le principal obstacle pour que le « moment » pré-révolutionnaire se transforme en situation ouvertement pré-révolutionnaire, voire même révolutionnaire, réside dans la direction conservatrice et institutionnelle du mouvement ouvrier.

Pour la coordination des secteurs en grève et en lutte : construisons des comités d’action pour la grève générale !

Les échanges sur les Blocages et dans les manifs sont du même ordre : les conditions de travail détériorées et un étouffement et un écoeurement du management ... Une régression sociale collée à une répression hors norme de la part de ce gouvernement . On se bat pas que pour la RETRAITE mais pour un avenir équitable et juste . on ne veut pas le Monde des KEN comme celui de MAcron et ses sbires du capital qui détruise le lien social et amène le caos . Les Syndicats : les directions syndicales devront s'adapter ou alors elles disparaitront d'elles mêmes  . Un sens à la vie , où le travail humain a sa place et sa dignité mais pas seulement .

M

Marcelo

Author: Marcelo

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